Dans le livre de Houang ti, il est dit : « L’homme parfait est comme mort. Se meut-il ? C’est comme s’il était entravé. Il ignore pourquoi il est ici bas et aussi pourquoi il ne serait pas ici bas. Il ignore pourquoi il se meut et pourquoi il ne bougerait pas. Sous le regard des hommes, il ne change pas son comportement extérieur. Il ne change pas davantage ce comportement quand il est à l’abri du regard d’autrui.
Solitaire, il s’en va et il vient ; solitaire il sort et il rentre. Qui peut s’opposer à ses démarches ? »
[Lie-tseu, Sur le destin, Folio Gallimard 2010]
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